- Accueil
- Bande dessinée
- Actualité - Agenda
- Le Chat revient le 30 octobre avec un 22e tome
Actualité
Le Chat revient le 30 octobre avec un 22e tome
Vingt-deuxième album ! Dire que ce Chat accompagne nos vies depuis plus de trente-cinq ans et, qu’au contraire de nous en lasser, nous en redemandons. Pourvu que Geluck ne s’arrête jamais de dessiner et de nous enchanter par ses inventions !
Par quelle magie, cet auteur dont on pourrait se dire qu’on commence à vraiment bien le connaître, et ce félin replet, solitaire auto-satisfait, arrivent-ils à nous cueillir à chaque fois ? Comment ce gagman aux 14 000 dessins publiés (oui, 14 000 !) parvient-il à nous faire rire avec des trouvailles déconcertantes ? La réponse à cette question est multiple...
Succès grandissant
Contrairement à d’autres grandes séries en fléchissement, Le Chat conquiert chaque année de nouveaux lecteurs de tous horizons. Son public est en expansion. Il y a les convaincus, les fidèles et les nouveaux convertis.
Un lecteur : « Ah ! Monsieur Geluck ? Vous savez, avant je ne vous aimais pas. Et puis, j’ai commencé à lire Le Chat. Et maintenant je vous adore ! » (sic)
Intergénérationnel
Le Chat touche toutes les générations. Les plus jeunes lecteurs ont 7 ans, les plus âgés, plus de 100. L’effet produit est toujours le même : il fait rire, touche le coeur et fait réfléchir.
Une maman : « Mes parents ne lisent aucune BD, sauf les vôtres. Ce sont eux qui m’ont fait découvrir Le Chat quand j’étais petite. Aujourd’hui, j’ai deux enfants, et le virus s’est transmis. Vous devriez voir ma fille se fendre la pêche avec son grand-père quand ils lisent vos albums ensemble ! » (sic)
Indémodable
Selon son auteur, Le Chat n’a jamais été « à la mode ». Voilà sans doute pourquoi il ne se démode pas.
Un lecteur : « J’ai l’impression que je ne m’en lasserai jamais. » (sic)
Renouvellement
Que ce soit sur des sujets rabâchés depuis des millénaires par des générations entières de philosophes ou sur l’actualité la plus brûlante, le propos geluckien est original, inspiré et fait toujours mouche.
Un lecteur, demandant un selfie à la Gare du Nord : « Ma copine est fan, elle a une très jolie chatte qu’elle a appelée Geluck ».
PG : « Caressez-la de ma part ! » (sic)